Image d'illustration de la page jean marc chamot

7e DAN AÏKIDO, 4e DAN IAÏDO FEI, CADRE TECHNIQUE FFAB

Jean-Marc commence l’étude de l’Aïkido au début des années soixante-dix, à l’âge de dix-sept ans, au sein du groupe Nocquet.

Très éclectique, Yvon Penglaou, son premier professeur, dès sa première année de pratique, lui permet de rencontrer des professeurs d’autres groupes, des gens ayant été formés par les maîtres Noro Masamichi ou Kobayashi Hirokazu.

C’est aussi cette année-là qu’il participe pour la première fois à des stages animés par les maîtres Tamura Nobuyoshi et Chiba Kazuo.

Devenu étudiant, Jean-Marc organise son emploi du temps afin de pouvoir s’entraîner quotidiennement à la pratique de ce qui est devenu sa passion. Il suit ensuite de nombreux stages dirigés par les maîtres Tamura, Kobayashi, Noro ou Kanetsuka.

Il pratique aussi le Iaïdo sous la direction de Malcom Tiki Shewan.

Dès la fin des années soixante-dix, Jean-Marc, finissant ses études d’anglais, est chargé de l’interprétariat des stages de maître Sugano Seiichi récemment arrivé d’Australie en Europe. Il assume cette tâche enrichissante pendant neuf ans, jusqu’au départ de ce dernier pour les Etats-Unis.

Aimant voyager, Jean-Marc suit, tant en Europe qu’en Amérique, l’enseignement de nombreuses personnalités de l’Aïkido comme les maîtres Tohei Koichi, Tada Hiroshi, Yamada Yoshimistu, Yamaguchi Seigo ou encore Nakazano Mutsuharu.

Lors de visites au Japon il fait connaissance des maîtres de l’Aïkikaï, et visite à Iwama, le dojo de Saïto Morihiro.

Il passe en 1982 son Brevet d’Educateur Sportif 1er degré puis le 2e degré en 1987, pour lequel il est major de promotion.

Il participe depuis, au sein de la FFAB, à la formation des enseignants, ayant, pendant de nombreuses années, participé aux travaux de la Commission Brevet d’Etat avec René Trognon, Michel Venturelli et Jean-Paul Moine. La pédagogie est sa seconde passion mais il ne la voit que comme un support utile à la transmission de cette discipline qu’il affectionne.

Depuis le début des années quatre-vingt il anime de nombreux stages en France et à l’étranger. Ce qu’il aime retrouver c’est cette sensation de fraternité et de plaisir dans l’effort que l’on rencontre dans un dojo, il s’efforce d’y contribuer par son sérieux comme par sa bonne humeur.